Un plan d’aménagement ambitieux pour la RD 120
Les conseils généraux du Cantal et de la Corrèze vont unir leurs efforts pour améliorer la RD 120, entre Aurillac et Tulle. D’importants aménagements sont prévus.

Moins de virages au Pont d’Orgon
Sur la section Pont d’Orgon/ département de la Corrèze, les années 2006 à 2008 seront consacrées aux études, procédures et acquisitions foncières dans la perspective d’engager les premiers travaux fin 2008, début 2009. Trois tranches font d’ores et déjà l’objet d’une programmation : la déviation du Pont d’Orgon (9,6 millions d’euros), la portion Cavaroque/ Montvert (6,11 millions d’euros) et celle de Montvert au Teulet en Corrèze (3,2 millions d’euros). La RD 120, qui donne accès à l’A20 et à l’A89, constitue également une priorité pour le Conseil général de la Corrèze. Celui-ci prévoit, dans un premier temps, de créer des voies pour les véhicules lents dans la côte des Jordes à la sortie de Tulle : deux créneaux dans les deux sens, dont un à la sortie de Laguenne. Un créneau de dépassement est également prévu dans la plaine de Forges. Ces travaux pourraient avoir lieu au cours des années 2008 et 2009.
Sur la section Pont d’Orgon/ département de la Corrèze, les années 2006 à 2008 seront consacrées aux études, procédures et acquisitions foncières dans la perspective d’engager les premiers travaux fin 2008, début 2009. Trois tranches font d’ores et déjà l’objet d’une programmation : la déviation du Pont d’Orgon (9,6 millions d’euros), la portion Cavaroque/ Montvert (6,11 millions d’euros) et celle de Montvert au Teulet en Corrèze (3,2 millions d’euros). La RD 120, qui donne accès à l’A20 et à l’A89, constitue également une priorité pour le Conseil général de la Corrèze. Celui-ci prévoit, dans un premier temps, de créer des voies pour les véhicules lents dans la côte des Jordes à la sortie de Tulle : deux créneaux dans les deux sens, dont un à la sortie de Laguenne. Un créneau de dépassement est également prévu dans la plaine de Forges. Ces travaux pourraient avoir lieu au cours des années 2008 et 2009.
Soutien de l’Etat : "une question d’équité"
Concernant la RN 122, Vincent Descœur rappelait que le Conseil général et les parlementaires cantaliens ont obtenus de l’Etat la relance d’un "avant-projet sommaire d’itinéraire" (APSI) dont l’objectif est de permettre à terme la réalisation d’une véritable liaison nationale entre l’A75 et l’A20. Pour le président du Conseil général, cet avant-projet devra être impérativement suivi d’effets et d’une programmation financière précise qui permette d’obtenir, dans un délai acceptable, de premières avancées significatives, à savoir des contournements de bourgs, créneaux de dépassement, etc. "L’Etat devra apporter une réponse qui soit à la hauteur de cet enjeu majeur d’aménagement du territoire. Celle-ci vise à replacer le Cantal dans une situation d’équité face à d’autres territoires ayant bénéficié ces dernières années d’un traitement plus favorable, qui a depuis contribué à leur revitalisation. Il s’agit d’une question de continuité territoriale. Aucune autre alternative satisfaisante ne s’offre au département pour rejoindre les grandes agglomérations interrégionales", insistait Vincent Descœur.
Concernant la RN 122, Vincent Descœur rappelait que le Conseil général et les parlementaires cantaliens ont obtenus de l’Etat la relance d’un "avant-projet sommaire d’itinéraire" (APSI) dont l’objectif est de permettre à terme la réalisation d’une véritable liaison nationale entre l’A75 et l’A20. Pour le président du Conseil général, cet avant-projet devra être impérativement suivi d’effets et d’une programmation financière précise qui permette d’obtenir, dans un délai acceptable, de premières avancées significatives, à savoir des contournements de bourgs, créneaux de dépassement, etc. "L’Etat devra apporter une réponse qui soit à la hauteur de cet enjeu majeur d’aménagement du territoire. Celle-ci vise à replacer le Cantal dans une situation d’équité face à d’autres territoires ayant bénéficié ces dernières années d’un traitement plus favorable, qui a depuis contribué à leur revitalisation. Il s’agit d’une question de continuité territoriale. Aucune autre alternative satisfaisante ne s’offre au département pour rejoindre les grandes agglomérations interrégionales", insistait Vincent Descœur.