Un nouveau programme de soutien à l’économie
Le Conseil général adapte et abonde son programme de soutien à l’économie.

Des aides réparties en sept fonds d’intervention
Parmi les nouveautés, une modification du Fadec (Fonds d’aide au développement de l’économie cantalienne) qui, outre les entreprises nouvelles ou en développement pouvant justifier de la création de trois emplois grâce à l’investissement aidé, peut aider les investissements réalisés par les entreprises de plus de 10 salariés, avec un taux spécifique pour les gros projets. Autre nouveauté : le Faza (Fonds d’aide au développement des zones d’activités) pourra dorénavant aider les collectivités à se constituer des réserves foncières destinées à la création ou l’agrandissement de zones d’activités. Voire intervenir pour améliorer la compétitivité des prix de cession pratiqués sur ces zones. Le Conseil général récupère par ailleurs la gestion du dispositif d’avances remboursables à l’artisanat, créé et toujours financé par la Région. Le fonds d’aide à l’innovation est quant à lui renforcé avec une dotation de 780 000 euros contre 600 000 euros en 2006 (qui avaient permis d’aider huit projets). Enfin, le Conseil général a mis en place un nouveau fonds, intitulé "Fonds de prêt participatif" : il permet de répondre au besoins de renforcement en fonds propres des petites entreprises lorsqu’elles ont un projet de développement ou d’extension d’activité.
Parmi les nouveautés, une modification du Fadec (Fonds d’aide au développement de l’économie cantalienne) qui, outre les entreprises nouvelles ou en développement pouvant justifier de la création de trois emplois grâce à l’investissement aidé, peut aider les investissements réalisés par les entreprises de plus de 10 salariés, avec un taux spécifique pour les gros projets. Autre nouveauté : le Faza (Fonds d’aide au développement des zones d’activités) pourra dorénavant aider les collectivités à se constituer des réserves foncières destinées à la création ou l’agrandissement de zones d’activités. Voire intervenir pour améliorer la compétitivité des prix de cession pratiqués sur ces zones. Le Conseil général récupère par ailleurs la gestion du dispositif d’avances remboursables à l’artisanat, créé et toujours financé par la Région. Le fonds d’aide à l’innovation est quant à lui renforcé avec une dotation de 780 000 euros contre 600 000 euros en 2006 (qui avaient permis d’aider huit projets). Enfin, le Conseil général a mis en place un nouveau fonds, intitulé "Fonds de prêt participatif" : il permet de répondre au besoins de renforcement en fonds propres des petites entreprises lorsqu’elles ont un projet de développement ou d’extension d’activité.
"Un programme adapté aux besoins des entreprises"
"Le Cantal est celui des quatre départements d’Auvergne qui consacre le plus de crédits aux soutiens à l’économie", a relevé Vincent Descoeur, président du Conseil général, en présentant ce nouveau programme aux côtés de Gérard Leymonie, vice-président en charge de l’économie. Bernard Bouniol, président de la Chambre de commerce et d’industrie, et Jean-Paul Bastien, 1er vice-président de la Chambre de métiers, ont d’ailleurs salué tant "l’ampleur des financements" que "la parfaite adéquation de ce dispositif aux besoins des entreprises". Le président de la CCI a notamment insisté sur l’utilité du "Fonds de prêt participatif" dont le principal intérêt est qu’il "permet d’alléger l’intervention du dirigeant, aucune sûreté réelle ou garantie personnelle n’étant exigée à l’entreprise en contrepartie de l’octroi de ces prêts".
"Le Cantal est celui des quatre départements d’Auvergne qui consacre le plus de crédits aux soutiens à l’économie", a relevé Vincent Descoeur, président du Conseil général, en présentant ce nouveau programme aux côtés de Gérard Leymonie, vice-président en charge de l’économie. Bernard Bouniol, président de la Chambre de commerce et d’industrie, et Jean-Paul Bastien, 1er vice-président de la Chambre de métiers, ont d’ailleurs salué tant "l’ampleur des financements" que "la parfaite adéquation de ce dispositif aux besoins des entreprises". Le président de la CCI a notamment insisté sur l’utilité du "Fonds de prêt participatif" dont le principal intérêt est qu’il "permet d’alléger l’intervention du dirigeant, aucune sûreté réelle ou garantie personnelle n’étant exigée à l’entreprise en contrepartie de l’octroi de ces prêts".