Un nouveau pôle de formation dédié aux métiers du froid
L’Afpa vient d’inaugurer à Saint-Flour un "pôle de formation aux métiers du froid". Elle a investi 775 000 euros en équipements pour développer une formation qui, dans 85 % des cas, débouche sur un emploi dans les six mois suivant l’obtention de la qualification.

Des formations rémunérées
Originaire de Grenoble, Philippe Vernet a quitté son employeur pour venir se perfectionner à Saint-Flour. "Mon objectif est de devenir autonome, éventuellement de me mettre à mon compte, mais à coup sûr d’augmenter mon salaire", explique-t-il. Venant de loin, il apprécie de bénéficier sur place d’un hébergement gratuit qui permet d’ailleurs à l’Afpa de réaliser un recrutement national pour cette formation. Les stagiaires, demandeurs d’emploi en majorité, profitent aussi d’une rémunération, soit dans le cadre des Assedic, soit par l’Afpa, s’ils n’ont plus aucun droit. "Nous œuvrons à la formation mais également à l’insertion, notait Roland Pechet, directeur de l’Afpa Auvergne, lors de l’inauguration du pôle de formation le mercredi 8 novembre. Nous sommes à même de contribuer à qualifier la ressource humaine nécessaire pour accompagner les projets de développement des territoires et des entreprises". Et le directeur général adjoint de l’Afpa, Vincent Destival, d’affirmer : "Nous sommes capables d’accueillir tous les publics".
Originaire de Grenoble, Philippe Vernet a quitté son employeur pour venir se perfectionner à Saint-Flour. "Mon objectif est de devenir autonome, éventuellement de me mettre à mon compte, mais à coup sûr d’augmenter mon salaire", explique-t-il. Venant de loin, il apprécie de bénéficier sur place d’un hébergement gratuit qui permet d’ailleurs à l’Afpa de réaliser un recrutement national pour cette formation. Les stagiaires, demandeurs d’emploi en majorité, profitent aussi d’une rémunération, soit dans le cadre des Assedic, soit par l’Afpa, s’ils n’ont plus aucun droit. "Nous œuvrons à la formation mais également à l’insertion, notait Roland Pechet, directeur de l’Afpa Auvergne, lors de l’inauguration du pôle de formation le mercredi 8 novembre. Nous sommes à même de contribuer à qualifier la ressource humaine nécessaire pour accompagner les projets de développement des territoires et des entreprises". Et le directeur général adjoint de l’Afpa, Vincent Destival, d’affirmer : "Nous sommes capables d’accueillir tous les publics".
Un secteur en plein développement
Le secteur d’activité du froid est en plein développement, tant sur le plan de la demande que des spécialisations afin de répondre à une réglementation en pleine évolution. "En France, 2 800 entreprises, dont 93 % ont moins de 20 salariés, sont spécialisées et nous avons de plus en plus besoin de personnels qualifiés", soulignait Éric Le Borgne, vice-président du Syndicat national des entreprises du froid (SNEFCCA) Auvergne, en se félicitant de la qualité des installations. "La formation doit s’adapter, pour l’accès, le maintien ou le retour à l’emploi, déclarait de son côté Dominique Bru, vice-présidente du Conseil régional, partenaire de l’Afpa". Joël Mercier, sous-préfet de Saint-Flour, présent à l’inauguration aux côtés du directeur départemental du travail et de l’emploi, retenait quant à lui l’idée centrale d’aider "le jeune dans sa globalité, et selon ses besoins".
Le secteur d’activité du froid est en plein développement, tant sur le plan de la demande que des spécialisations afin de répondre à une réglementation en pleine évolution. "En France, 2 800 entreprises, dont 93 % ont moins de 20 salariés, sont spécialisées et nous avons de plus en plus besoin de personnels qualifiés", soulignait Éric Le Borgne, vice-président du Syndicat national des entreprises du froid (SNEFCCA) Auvergne, en se félicitant de la qualité des installations. "La formation doit s’adapter, pour l’accès, le maintien ou le retour à l’emploi, déclarait de son côté Dominique Bru, vice-présidente du Conseil régional, partenaire de l’Afpa". Joël Mercier, sous-préfet de Saint-Flour, présent à l’inauguration aux côtés du directeur départemental du travail et de l’emploi, retenait quant à lui l’idée centrale d’aider "le jeune dans sa globalité, et selon ses besoins".