Service de réanimation - Jacques Markarian propose un débat public à Alain Calmette
La lettre ouverte adressée jeudi par le conseiller général (groupe GRD) et président de la conférence médicale d’établissement du CMC, Jacques Markarian, à son "ami" député PS Alain Calmette ne compte pas plus d’une quinzaine de lignes mais tout y est dit. Objet du litige : la position d’Alain Calmette, président du conseil de surveillance de l’hôpital Henri-Mondor sur le projet de fermeture du service de réanimation du CMC. Lors d’un récent point presse, ce dernier a considéré que le personnel du CMC dramatisait l’impact de cette fermeture projetée par l’Agence régionale de santé et que l’hôpital public était tout à fait apte à "absorber" l’ensemble des lits de réanimation du département. "Médecin et homme de gauche, je maintiens que la fermeture de la réanimation du CMC aura des conséquences graves pour l’emploi, pour le CMC et surtout pour la prise en charge des patients de réanimation dans le Cantal", écrit Jacques Markarian, pour qui le schéma de santé peut encore être infléchi "avec l’appui des élus du peuple". "Puisque tu t’es opposé à moi dans cette affaire, par voie de presse, sans même qu’un seul élu de gauche n’ait osé me téléphoner, je te propose d’échanger sur la place publique...", soumet l’élu.
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