Monter au salon, une consécration pour les passionnés de génétique
Habitué des concours départementaux et régionaux, le Gaec Combes de Rouziers amène pour la première fois une montbéliarde au Salon international de l’agriculture.

35 montbéliardes à Paris
"Paris ? C’est la passion qui nous y amène", estime Claude. "Et puis là-bas, nous représenterons le Cantal et même l’Auvergne", souligne Pascal. En effet, sur 35 places réservées à la race, trois seulement sont retenues pour la région, dont deux pour le Cantal (élevage Cussac d’Alleuze et celui du Gaec Combes) et une attribuée à un élevage de Haute-Loire. Une sacrée responsabilité partagée entre l’animal sélectionné et... l’éleveur. "Tu as intérêt à être bon", plaisantent Cédric et Claude qui resteront travailler à la ferme à l’attention de Pascal qui conduira seul "Uctane" au concours de dimanche. Chacun se prend à rêver que la vache chouchoutée ramènera un prix. Une fierté. Surtout vis à vis du travail de sélection accompli. Pour une reconnaissance nationale aussi. "Lorsqu’un animal est lauréat ne serait-ce qu’à Cournon, dans la semaine qui suit, il y a de la demande en génisses", confie la famille Combes.
"Paris ? C’est la passion qui nous y amène", estime Claude. "Et puis là-bas, nous représenterons le Cantal et même l’Auvergne", souligne Pascal. En effet, sur 35 places réservées à la race, trois seulement sont retenues pour la région, dont deux pour le Cantal (élevage Cussac d’Alleuze et celui du Gaec Combes) et une attribuée à un élevage de Haute-Loire. Une sacrée responsabilité partagée entre l’animal sélectionné et... l’éleveur. "Tu as intérêt à être bon", plaisantent Cédric et Claude qui resteront travailler à la ferme à l’attention de Pascal qui conduira seul "Uctane" au concours de dimanche. Chacun se prend à rêver que la vache chouchoutée ramènera un prix. Une fierté. Surtout vis à vis du travail de sélection accompli. Pour une reconnaissance nationale aussi. "Lorsqu’un animal est lauréat ne serait-ce qu’à Cournon, dans la semaine qui suit, il y a de la demande en génisses", confie la famille Combes.
Le Gaec en deux mots
Le Gaec Elevage Combes a été créé en novembre 2003, lorsque Pascal, fils de Claude et Annie, s’est installé à leurs côtés. Cédric, un autre fils installé l’année dernière, a rejoint la société, portant la référence laitière à 380 000 litres. La structure compte donc quatre associés qui élèvent 45 vaches laitières à 8 300 litres par vache (32,5 TP et 39,5 TB). Le Gaec dispose d’une SAU de 76 ha répartie sur les communes de Rouziers et Parlan et d’un atelier de veaux de boucherie.
Le Gaec Elevage Combes a été créé en novembre 2003, lorsque Pascal, fils de Claude et Annie, s’est installé à leurs côtés. Cédric, un autre fils installé l’année dernière, a rejoint la société, portant la référence laitière à 380 000 litres. La structure compte donc quatre associés qui élèvent 45 vaches laitières à 8 300 litres par vache (32,5 TP et 39,5 TB). Le Gaec dispose d’une SAU de 76 ha répartie sur les communes de Rouziers et Parlan et d’un atelier de veaux de boucherie.