Les anciens exploitants se félicitent d’une avancée
Les annonces de revalorisation des petites retraites satisfont les anciens exploitants du Cantal.

Un plan de rattrapage progressif
Il rappelle qu’une première victoire a été obtenue dans le cadre de la loi d’orientation agricole du 5 janvier 2006 : elle a permis à nombre de retraités de bénéficier d’une revalorisation. "Toutefois, cela reste insuffisant. La plupart des retraités agricoles, et notamment de très nombreuses conjointes de notre département, sont exclus de toutes mesures de revalorisation", constate la section des anciens exploitants. "C’est pourquoi la FNSEA et la section nationale des anciens exploitants ont négocié un plan de rattrapage progressif avec Dominique Bussereau, ministre de l’Agriculture. Nous nous réjouissons donc de l’annonce du Premier ministre qui doit traduire ce plan au niveau législatif". La section des anciens exploitants indique qu’elle restera "extrêmement vigilante sur les conditions et les délais d’application... Car personne ne comprendrait qu’une population qui ne bénéficie pas des minimas sociaux attende plus longtemps des mesures correspondant à une dure vie de labeur".
Plus d'infos à lire cette semaine dans L'Union du Cantal.
Droits de reproduction et de diffusion réservés.
le journal "L'UNION du Cantal"
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lunion.cantal@wanadoo.fr
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Il rappelle qu’une première victoire a été obtenue dans le cadre de la loi d’orientation agricole du 5 janvier 2006 : elle a permis à nombre de retraités de bénéficier d’une revalorisation. "Toutefois, cela reste insuffisant. La plupart des retraités agricoles, et notamment de très nombreuses conjointes de notre département, sont exclus de toutes mesures de revalorisation", constate la section des anciens exploitants. "C’est pourquoi la FNSEA et la section nationale des anciens exploitants ont négocié un plan de rattrapage progressif avec Dominique Bussereau, ministre de l’Agriculture. Nous nous réjouissons donc de l’annonce du Premier ministre qui doit traduire ce plan au niveau législatif". La section des anciens exploitants indique qu’elle restera "extrêmement vigilante sur les conditions et les délais d’application... Car personne ne comprendrait qu’une population qui ne bénéficie pas des minimas sociaux attende plus longtemps des mesures correspondant à une dure vie de labeur".
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