Le pastoralisme reste une pratique dans l’air du temps
L’association française de pastoralisme sur les montagnes du Cantal.
Les administrateurs de l’Association française de pastoralisme autour de la table du buron de la Coptasa, sur les hauteurs de Pradiers.
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L'Union du Cantal
Al’invitation de la Coptasa, l’Association française de pastoralisme (AFP) a tenu un conseil d’administration à Allanche. La douzaine d’administrateurs, venus de toutes les régions pastorales de France, ont ensuite visité les estives et le buron de la Coptasa.Créée en 1984, cette association vise à favoriser les échanges entre
les acteurs du pastoralisme, et s’emploie à promouvoir la modernité de
cette pratique ancestrale dans ses dimensions scientifiques, techniques
ou culturelles. Elle s’efforce enfin de jouer un rôle d’expertise
auprès des instances nationales en charge des politiques relatives au
pastoralisme.
Une pratique ancestrale moderne et vitale
Présidée par Jean-Pierre Legeard (Paca), l’AFP regroupe des techniciens, cherchercheurs, éleveurs, bergers, enseignants... “La transhumance et le pastoralisme répondent à des enjeux capitaux, tant en teme d’aménagement des territoires, de diversité biologique, de maintien des paysages, de lutte contre les risques naturels, que de qualité des productions, sans oublier la dimension culturelle”, témoigne Marcel Besombes, animateur de la Coptasa. A Allanche, il a été question de la préparation des prochaines journées nationales, qui auront lieu en septembre dans la Drôme. Ainsi que d’une journée technique programmée le 13 novembre à Montpellier autour du thème “Aléas climatiques et systèmes d’élevage pastoraux”. Avec l’objectif d’évaluer les impacts des changements climatiques et de proposer des pistes d’adaptation des systèmes d’élevage pastoraux. Autre actualité de l’AFP : le toilettage de la loi de 1972 qui régit les activités pastorales.
Une pratique ancestrale moderne et vitale
Présidée par Jean-Pierre Legeard (Paca), l’AFP regroupe des techniciens, cherchercheurs, éleveurs, bergers, enseignants... “La transhumance et le pastoralisme répondent à des enjeux capitaux, tant en teme d’aménagement des territoires, de diversité biologique, de maintien des paysages, de lutte contre les risques naturels, que de qualité des productions, sans oublier la dimension culturelle”, témoigne Marcel Besombes, animateur de la Coptasa. A Allanche, il a été question de la préparation des prochaines journées nationales, qui auront lieu en septembre dans la Drôme. Ainsi que d’une journée technique programmée le 13 novembre à Montpellier autour du thème “Aléas climatiques et systèmes d’élevage pastoraux”. Avec l’objectif d’évaluer les impacts des changements climatiques et de proposer des pistes d’adaptation des systèmes d’élevage pastoraux. Autre actualité de l’AFP : le toilettage de la loi de 1972 qui régit les activités pastorales.