La station de Sansac accueille ses derniers veaux
78 veaux sont entrés à la station d’évaluation de Sansac-Veinazès qui vit sa dernière année d’activité.

Une gestion homogène de l’allotement
Dernière fois ou pas, il aura à cœur de s’occuper de ces jeunes reproducteurs prometteurs qui seront contrôlés et comparés entre eux sur des critères de potentiel de croissance, de développement musculaire et squelettique : 58 seront vendus à l’issue de ce semestre, 18 seront rendus aux propriétaires qui les ont simplement laissés en pension. Dès leur entrée, pour un allotement homogène, les animaux sont triés par poids et âge. En outre, un vétérinaire procède à une vaccination, une prise de sang et l’injection de vitamines.
Dernière fois ou pas, il aura à cœur de s’occuper de ces jeunes reproducteurs prometteurs qui seront contrôlés et comparés entre eux sur des critères de potentiel de croissance, de développement musculaire et squelettique : 58 seront vendus à l’issue de ce semestre, 18 seront rendus aux propriétaires qui les ont simplement laissés en pension. Dès leur entrée, pour un allotement homogène, les animaux sont triés par poids et âge. En outre, un vétérinaire procède à une vaccination, une prise de sang et l’injection de vitamines.
Une alimentation selon un strict protocole
Après quoi, tous sont soumis au même régime de base : du foin et fourrage grossier à volonté. Et selon un protocole défini sur 3 périodes (après 6 à 8 semaines, après un contrôle à 12 semaines et la préparation au retour dans les élevages), Jean-Claude Castanier complémente plus ou moins avec des concentrés (4 kilos maximum) et des minéraux. Un principe qui séduit de plus en plus d’éleveurs extérieurs au berceau de race. Même si les Cantaliens restent largement majoritaires, certains éleveurs amènent un veau de Corrèze, de Creuse, du Puy-de-Dôme ou du Lot, mais aussi de Seine-Maritime ou de Mayenne. Le Herd-book salers se félicite en outre d’une implication encourageante de jeunes agriculteurs qui renouvellent le potentiel de la station. Un principe qui sera évidemment reconduit dans la future maison de la race, à Saint-Bonnet.
Après quoi, tous sont soumis au même régime de base : du foin et fourrage grossier à volonté. Et selon un protocole défini sur 3 périodes (après 6 à 8 semaines, après un contrôle à 12 semaines et la préparation au retour dans les élevages), Jean-Claude Castanier complémente plus ou moins avec des concentrés (4 kilos maximum) et des minéraux. Un principe qui séduit de plus en plus d’éleveurs extérieurs au berceau de race. Même si les Cantaliens restent largement majoritaires, certains éleveurs amènent un veau de Corrèze, de Creuse, du Puy-de-Dôme ou du Lot, mais aussi de Seine-Maritime ou de Mayenne. Le Herd-book salers se félicite en outre d’une implication encourageante de jeunes agriculteurs qui renouvellent le potentiel de la station. Un principe qui sera évidemment reconduit dans la future maison de la race, à Saint-Bonnet.