Des responsables de Coop de France sur les montagnes du Cantal
L’Union bovine Haute Auvergne (UBHA) accueillait mardi 29 mai à Pailherols et Malbo les responsables de la section bovine de Coop de France Bétail et Viande.

Les spécificités des zones de montagnes
"Pour bien comprendre les choses, il faut avant tout les voir. C’est un élément incontournable pour la défense des dossiers politiques et administratifs. De plus, pour des gens de l’Ouest comme nous, il est très important de montrer que l’on s’intéresse aux productions de toute la France", insistait Guy Mériau. "Il est des spécificités dans les zones de montagnes que l’on ne peut ignorer, faisait remarquer Jean Bonnet. Cette rencontre va nous permettre d’échanger sur les contrats de plans, l’accessibilité aux parcelles, les animaux à l’attache, les contraintes de la directive sur le transport et le bien-être animal... Ce sont des combats à mener qu’il faudra gérer le plus intelligemment possible. Nous comptons sur Coop de France pour cela". Lors de cette rencontre, à laquelle ne manquaient que le groupe Altitude et Socaviac (Allier), trois des cinq coopératives formant l’UBHA étaient représentées : la Cemac, la coopérative du Mézenc et la coopérative des Veaux des Monts du Velay.
"Pour bien comprendre les choses, il faut avant tout les voir. C’est un élément incontournable pour la défense des dossiers politiques et administratifs. De plus, pour des gens de l’Ouest comme nous, il est très important de montrer que l’on s’intéresse aux productions de toute la France", insistait Guy Mériau. "Il est des spécificités dans les zones de montagnes que l’on ne peut ignorer, faisait remarquer Jean Bonnet. Cette rencontre va nous permettre d’échanger sur les contrats de plans, l’accessibilité aux parcelles, les animaux à l’attache, les contraintes de la directive sur le transport et le bien-être animal... Ce sont des combats à mener qu’il faudra gérer le plus intelligemment possible. Nous comptons sur Coop de France pour cela". Lors de cette rencontre, à laquelle ne manquaient que le groupe Altitude et Socaviac (Allier), trois des cinq coopératives formant l’UBHA étaient représentées : la Cemac, la coopérative du Mézenc et la coopérative des Veaux des Monts du Velay.
L’importance de la coopération
Tous ont rappelé l’importance de la coopération "afin que la filière soit encore plus forte face aux enjeux à venir". Avec plus de 2 700 adhérents, 110 000 vaches, 76 300 animaux commercialisés, dont 47 000 maigres et 5 300 veaux, l’UBHA a aussi son mot à dire, un rôle à jouer. Une détermination confirmée par Patrick Bénézit, invité pour l’occasion. Selon le secrétaire général adjoint de la Fédération nationale bovine (FNB) et président de la section bovine de la FDSEA, "on est plus fort quand les différentes fédérations s’associent. La coopération dans ce secteur est nécessaire pour avancer". Des propos confortés par Guy Mériau. "Le challenge de demain, c’est de maintenir un niveau et un tissu de producteurs suffisant pour la ferme France. Cela passe par un maintien d’un troupeau allaitant. Nous avons besoin de travailler de concert avec la FNB. Nous pèserons ainsi plus lourd quand nous irons voir les politiques".
Tous ont rappelé l’importance de la coopération "afin que la filière soit encore plus forte face aux enjeux à venir". Avec plus de 2 700 adhérents, 110 000 vaches, 76 300 animaux commercialisés, dont 47 000 maigres et 5 300 veaux, l’UBHA a aussi son mot à dire, un rôle à jouer. Une détermination confirmée par Patrick Bénézit, invité pour l’occasion. Selon le secrétaire général adjoint de la Fédération nationale bovine (FNB) et président de la section bovine de la FDSEA, "on est plus fort quand les différentes fédérations s’associent. La coopération dans ce secteur est nécessaire pour avancer". Des propos confortés par Guy Mériau. "Le challenge de demain, c’est de maintenir un niveau et un tissu de producteurs suffisant pour la ferme France. Cela passe par un maintien d’un troupeau allaitant. Nous avons besoin de travailler de concert avec la FNB. Nous pèserons ainsi plus lourd quand nous irons voir les politiques".