Alain Marleix prononce dans le Cantal un discours de portée nationale
Le nouveau secrétaire d’Etat a fait une première apparition publique, en se rendant à Riom-ès-Montagnes pour inaugurer la nouvelle place du monument aux morts.

Un moment solennel
Après un dépôt de gerbe et une minute de silence, Alain Marleix a souligné l’importance du devoir de mémoire. “Une mémoire qui nous rassemble pour nous souvenir de la souffrance des femmes et des hommes qui ont lutté pour la France, jusqu’au delà de ses frontières”. Et de rappeler le triste bilan des guerres de 14-18, de 39-45, d’Indochine, et bien sûr, d’Algérie. Comme l’a souligné un peu plus tard le maire de Riom, Guy Delteil, le monument a vu ses différentes faces se garnir progressivement de nouvelles plaques et afficher le nom de 137 Riomois qui ont donné leur vie. “Des noms qui témoignent des plaies qui hantent la mémoire collective de nos petits villages, comme dans les grandes villes”, poursuivait le secrétaire d’État. “S’imposent à nous le silence du recueillement et le devoir du souvenir. Se rappeler, c’est exprimer notre reconnaissance, notre respect, notre admiration à celles et ceux qui ont combattu pour la France, nous léguant des valeurs inestimables d’engagement, de courage et de solidarité”, concluait-il en espérant une “politique de transmission de la mémoire”.
Après un dépôt de gerbe et une minute de silence, Alain Marleix a souligné l’importance du devoir de mémoire. “Une mémoire qui nous rassemble pour nous souvenir de la souffrance des femmes et des hommes qui ont lutté pour la France, jusqu’au delà de ses frontières”. Et de rappeler le triste bilan des guerres de 14-18, de 39-45, d’Indochine, et bien sûr, d’Algérie. Comme l’a souligné un peu plus tard le maire de Riom, Guy Delteil, le monument a vu ses différentes faces se garnir progressivement de nouvelles plaques et afficher le nom de 137 Riomois qui ont donné leur vie. “Des noms qui témoignent des plaies qui hantent la mémoire collective de nos petits villages, comme dans les grandes villes”, poursuivait le secrétaire d’État. “S’imposent à nous le silence du recueillement et le devoir du souvenir. Se rappeler, c’est exprimer notre reconnaissance, notre respect, notre admiration à celles et ceux qui ont combattu pour la France, nous léguant des valeurs inestimables d’engagement, de courage et de solidarité”, concluait-il en espérant une “politique de transmission de la mémoire”.
Revaloriser les pensions
A l’issue de cette cérémonie, Alain Marleix confiait à la presse que sa volonté au gouvernement est précisément de recueillir cette mémoire, de veiller sur elle, de l’entretenir”. Il a précisé vouloir en outre augmenter la pension de reversion des veuves et ré-évaluer les indices de retraite des combattants. En outre, sa qualité de secrétaire d’Etat à la Défense lui fait prendre une part active dans l’idée de constituer une réserve militaire d’au moins 100 000 hommes.
A l’issue de cette cérémonie, Alain Marleix confiait à la presse que sa volonté au gouvernement est précisément de recueillir cette mémoire, de veiller sur elle, de l’entretenir”. Il a précisé vouloir en outre augmenter la pension de reversion des veuves et ré-évaluer les indices de retraite des combattants. En outre, sa qualité de secrétaire d’Etat à la Défense lui fait prendre une part active dans l’idée de constituer une réserve militaire d’au moins 100 000 hommes.