94 % des Cantaliens ont maintenant accès à l’internet à haut débit
Aujourd’hui 94 % des Cantaliens peuvent avoir accès à l’internet à haut débit, contre 36 % il y a encore trois ans. Le risque de fracture numérique s’est éloigné.

Un plan d’équipement de 4 millions d’euros
Le chemin parcouru est immense : "Quand j’ai accédé à la présidence du Conseil général, les plus optimistes imaginaient que seulement la préfecture, les deux villes sous-préfecture et peut-être deux autres localités pourraient être desservies un jour par le haut débit", s’est souvenu Vincent Descœur. En 2004, lorsque la convention avec France-Télécom a été signée, le niveau de desserte atteignait seulement 36 %. Seuls sept NRA (Noeuds de raccordement abonnés) étaient équipés de l’ADSL. Les 117 existants le sont aujourd’hui, les trois derniers ayant été mis en service début 2007 à Montchamp, Faverolles et Madic. France-Télécom aurait investi 4 millions d’euros dans ce programme d’équipement. Le pourcentage de Cantaliens qui peuvent prétendre à un haut débit compris entre 2 et 8 Mbit/s atteindrait 76 % (512 Kbit/s pour les autres). De plus, depuis 2005, France-Télécom s’engage à répon-dre à toute demande d’entreprise qui voudrait s’équiper du haut débit 2 Mbit/s symétrique (débit entrant et sortant équivalent), même si elle est située dans une zone non couverte par l’ADSL, "à un coût identique en tous points du territoire national", précise M. Janet (à partir de 250 euros par mois). Tandis que le village d’entreprise de Tronquières (Aurillac) est le premier à bénéficier d’une offre très haut débit (100 Mbit).
Le chemin parcouru est immense : "Quand j’ai accédé à la présidence du Conseil général, les plus optimistes imaginaient que seulement la préfecture, les deux villes sous-préfecture et peut-être deux autres localités pourraient être desservies un jour par le haut débit", s’est souvenu Vincent Descœur. En 2004, lorsque la convention avec France-Télécom a été signée, le niveau de desserte atteignait seulement 36 %. Seuls sept NRA (Noeuds de raccordement abonnés) étaient équipés de l’ADSL. Les 117 existants le sont aujourd’hui, les trois derniers ayant été mis en service début 2007 à Montchamp, Faverolles et Madic. France-Télécom aurait investi 4 millions d’euros dans ce programme d’équipement. Le pourcentage de Cantaliens qui peuvent prétendre à un haut débit compris entre 2 et 8 Mbit/s atteindrait 76 % (512 Kbit/s pour les autres). De plus, depuis 2005, France-Télécom s’engage à répon-dre à toute demande d’entreprise qui voudrait s’équiper du haut débit 2 Mbit/s symétrique (débit entrant et sortant équivalent), même si elle est située dans une zone non couverte par l’ADSL, "à un coût identique en tous points du territoire national", précise M. Janet (à partir de 250 euros par mois). Tandis que le village d’entreprise de Tronquières (Aurillac) est le premier à bénéficier d’une offre très haut débit (100 Mbit).
Deux points noirs
Restent quand même deux points noirs : d’abord, le Cantal n’a pas encore accès aux offres de réception de la télévision par ADSL. Bruno Janet a annoncé vendredi qu’Aurillac serait desservie avant l’été et que la couverture serait progressivement étendue ensuite.
D’autre part, les 6 % de Cantaliens non encore desservis, qui pourraient l’être à l’horizon 2008. Les quatre départements d’Auvergne ont en effet confié à la Région le soin de piloter un plan de développement de technologies alternatives, a rappelé le président Descoeur. Le Conseil régional devrait choisir à l’automne l’opérateur qui sera chargé de les mettre en oeuvre avec le concours financier des collectivités locales.
Restent quand même deux points noirs : d’abord, le Cantal n’a pas encore accès aux offres de réception de la télévision par ADSL. Bruno Janet a annoncé vendredi qu’Aurillac serait desservie avant l’été et que la couverture serait progressivement étendue ensuite.
D’autre part, les 6 % de Cantaliens non encore desservis, qui pourraient l’être à l’horizon 2008. Les quatre départements d’Auvergne ont en effet confié à la Région le soin de piloter un plan de développement de technologies alternatives, a rappelé le président Descoeur. Le Conseil régional devrait choisir à l’automne l’opérateur qui sera chargé de les mettre en oeuvre avec le concours financier des collectivités locales.